Aëlin Very Important Doll
Nombre de messages : 958 Age : 34 Localisation : Tours Date d'inscription : 12/11/2006
| Sujet: Hentai No Omedetto - Aëlin Mar 21 Nov - 22:41 | |
| Titre : Hentai No OmedettoAuteur : AëlinDisclaimer : Tero appartient à Jui et Jui appartient à TeroCommentaires : merci à Devilyuko de m’avoir inspiré ^^ Je te dédie cette fic ma choute ^^ Et aussi à Trucidae. Et excusez pour la formatation, j’ai fait ce truc sur msn ^^
☼HeNtAi No OmEdEtTo ☼
Ils fêtaient tous ensembles l'anniversaire dubassiste dans l'appartement de celui-ci, lors d'un congébien mérité. La soirée avait bien vite dégénéré en unebataille de bière, Jui voulant démontrer que,contrairement aux apparences, il tenait aussi bien l'alcoolque l'expérimenté qui se retrouvait en face de lui.En effet, Tero était bien connu pour ses beuveries en toutgenre, et ce n'était qu'un défi de plus que de battre sonchanteur. Les autres, morts de rires, ayant bien picoléaussi, suivait attentivement le débat, surveillant lechanteur qui ne voyait plus très bien le fond de son verre.Ce n'est que quand Jui s'écroula sur la table basse dusalon, renversant par la même occasion le contenu duditverre, que Giru hurla la victoire de Tero, réveillant lechanteur qui se redressa aussitôt- Je crois que c'est bon, tu as gagné, lançaRame qui ne pouvait s'empêcher de rire, rire qui gagnabientôt le chanteur et le batteur, qui n'avaient plus touteleur tête.Tout à coup, le blond se mit à pleurer, sans que les autresne sachent pourquoi mais en ayant don de les faire arrêterde glousser comme des lycéennes. Le rouge se précipita surlui, posant sa main sur son épaule, le plus grand s'étantrecroquevillé sur lui même, ses épaules secouées de spasmesirréguliers.- Hey, Jui, que se passe-t-il ?? Demanda Tero, essayant dene pas laisser passer trop de son inquiétude dans le sonde sa voix.- Il est méchaaaaaaaaaaant avecmoiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Hurla le chanteur en pointant lebassiste du doigt.Un sourire se forma sur le coin des lèvres du batteurtandis qu'il prenait son ami dans ses bras pour leconsoler. Se tournant vers le propriétaire des lieux, ildemanda :- Je peux l'emmener dans ta chambre ? Je pense qu'il est unpeu trop fatigué.Le bassiste pointa du doigt une porte au fondde la pièce, se levant pour aller chercher d'autresboissons afin de rafraîchir ses messieurs. Tero souleva deses bras puissant - entraînés pour taper sur sa monstrueusebatterie imposante - Jui qui se laissa faire se blottitcontre le torse chaud du rouge.:Faisant comme il pouvait, le batteur entraînale plus petit vers la salle indiquée, titubant quelque peuau passage, les faisant presque tomber.- Jui, si tu pouvais mettre un peu du tien, je suis sûr quenous avancerions plus vite.Rien à faire, le chanteur ne semblait plus en état de quoique ce soit, juste de mouiller le T-shirt du rouge en bavant dessus.Après ce monumental périple - tout ça pour arriver danscette maudite chambre dont le lit n'était même pas fait -Après ce monumental périple - tout ça pourarriver dans cette maudite chambre dont le lit n'était mêmepas fait - Tero posa délicatement Jui qui était calmementen train de délirer contre lui. Mais cependant, celui-ciétait très tenace, et quand le rouge le déposa sur le lit,le blond continua à retenir le batteur en s'accrochantdespairs'rayment à son haut comme un noyé à sa bouée desauvetage, finissant même par déchirer le vêtement,l'entraînant avec lui sur le lit.Par le pur hasard des choses, les chosesjustement firent que le rouge se retrouva sur le blond,dans une position très.... convaincante, et leur bouchesrespectives se soudèrent dans un bel ensemble les, deux musiciens n'ayant plusvraiment toute leur tête.Ce n'est que quand Tero n'arriva plus à respirer qu'ils se séparèrent, le batteur poussantbrutalement le chanteur à l'autre bout du lit, celui-ci secognant contre le montant du lit, tandis que le rougedébattait avec ses pensées tortueuses.Il n'entendit pas tout de suite que lespleurs du blond avaient recommencé, et ce n'est que quandle chanteur fut secoué d'un violent sanglot que soninquiétude reprit le dessus, et il se rapprocha de son ami -qu'il avait du mal à considérer comme un ami, puisqu'au fond de son être subsistait une petite lueur amoureuse,qu'il gardait enfouit dans le plus profond de son cœur,ayant subit une éducation stricte qui ne lui permettait pasd'avoir des pensées homosexuelles ( il s'autorisait tout demême à écouter des groupes de rock extrémistes, même s'ilavait plusieurs fois subit les foudres de ses parents) -qui lui tournait le dos.- Jui ?? Ca va ??Le chanteur se recroquevilla sur lui même,offrant ainsi son postérieur bien en vue au batteur quitenta de poser les yeux ailleurs que sur la paire de fessesqui était en face de lui, mais ne réussit pas à retenir sespulsions et s'approcha du plus grand, posant la main surson épaule à demi découverte sous la chaleur étouffante dumois de Juin sous la veste cloutée.Prenant une grande inspiration, Tero tenta d'apprivoiser leJui en mode fontaine, qui plus ça allait, plus il seprenait pour un hérisson :- Etoooooooo... Ji-chan... Regarde moi s'il te plait...Excuse moi de t'avoir fait mal, je ne voulais pas....Le chanteur maugréa quelque chose qui fut étouffé par lecoussin, le batteur lui demandant de répéter :- Tu m'aimes pas............Et ce fut une nouvelle crise de larmes, difficilement géréepar le plus petit qui était de plus en plus... excité malgréles événements. Il décida alors de tenter l'approche parl'avant, se levant pour essayer de percer la boule humainetremblante, fit le tour de la couche, puis s'agenouilladevant le plus grand.Il commença à passer la main dans les cheveuxdu blond, caressant tendrement le front en attendant que lacrise de nerfs passe et qu'il se décrispe un peu, ce qu'ilfait au bout de quelques minutes, offrant son visagemaculé de larmes à Tero qui recueillit sur son doigt unedes perles salées, qu'il regarda tomber avec une certainefolie dans les yeux, Pris d'un soudain élan, il s'exprima :- Je ne vois pas pourquoi je ne t'aimerais pas.Et pour appuyer ses dires, il plongea son regard dans celuide son compagnon, y décelant du désir, mais aussi unsentiment qu'il devinait plus profond.Il prit son visage entre ses mains, puis monta sur le lit,se mettant à l'embrasser farouchement, alors que lechanteur avait fermé les yeux, savourant avec plaisir ledélice de ces instants merveilleux, tandis que Terobougeait de façon à se mettre au dessus de lui, ledéplaçant pour qu'il soit sur lui entre ses jambes.A bout de souffle, Jui rompit le baiser, tentant dereprendre une respiration normale, son compagnon ondulantdu bassin, reprenant le baiser. L'alcool déliait décidémentbien les languesJui chercha à déshabiller son amant,précipitant un peu les choses, tandis que le batteurfaisait glisser ses mains sur son torse par dessous son Tshirt, caressant l'abdomen du chanteur qui se soulevait aurythme de sa respiration, l'excitant encore plus. Si le litn'était pas fait en rentrant dans la chambre, dans leurprécipitation du déshabillage, les deux amants avaient toutjeté par terre, faisant un bel assemblage d'abstrait sur lamoquette du bassiste. En gros, il ne restait que le drap housse.Après avoir enlevé le haut de Jui, ce dernier s'attaqua àla braguette du jean du batteur, celui-ci préalablementdébarrassé du débardeur gênant, faisant glisser touuuuuuuutdoucement l'ouverture, dévoilant ainsi l'érection plus queconséquente de Tero qui fit de même avec Jui. Une fois nus commeau premier jour, ayant ôtés leur caleçon respectifs quiavaient fait un saut aussi mémorable que périlleux àtravers la pièce, le batteur entreprit de varier les lieuxdes bisous, descendant dans le cou du chanteur qui tentaitde procurer plus de plaisir à son amant en lui frôlant lahampe du bout des doigts, résultant à des suçons autour desa carotide tandis que Tero descendait plus bas, toujoursplus bas, mordillant, suçotant, léchouillant la peau du Juitel un enfant léchant une glace tant attendue, dessinantdes arabesques avec sa langue, jusqu'à parvenir à unendroit précis où le chanteur eu du mal à retenir une larmede plaisir quand le rouge l'atteint, alors que lui même nepouvait plus lui procurer du plaisir. Il léchouilla justele bout du pénis du blond qui se tortillait comme unpoisson hors de l'eau - l'image plaisant au batteur quin'en prenait que plus de plaisir ( Nda : le pervers XD) -et s'arrêta quand il sentit que l'autre atteignait lalimite du supportable.Sans plus de cérémonie, mais surtout par manque d'expérience, Tero prit les jambes de Jui qu'il plaça de par et autre de son corps, faisant se cambrer le chanteur, faisant pénétrer son index dans l'intimité du chanteur qui gémit de plaisir sous l'intrusion. Cependant, une chose inattendue se passa et Jui réussi, lorsque Tero retira l'objet de son intrusion, à inverser les positions, se retrouvant au dessus du rouge qui le regarda avec stupeur- Détends toi mon amour, rit Jui, un sourire machiavélique sur les lèvres, tandis qu'il s'introduisait dans le batteur, celui-ci hurlant de douleur.Inquiet, Jui s'arrêta soudainement, cherchant ce qui n'allait pas. Des larmes glissèrent sur les joues de Tero qui tentait de supporter la douleur, alors que Jui commençait à se mouvoir, arrachant des cris de pure douleur au batteur qui pleurait sans retenue.Sadique, mais pas à ce point, le blond s'arrêta, s'allongeant sur le corps de son amant, attendant qu'il se calme et qu'il s'habitue à lui. Il glissa ses mains dans les longs cheveux de flamme du batteur, qui au bout d'une minute, réussit à se calmer et supplia même Jui de reprendre ses mouvements.Ressentant encore de la douleur, le batteur se retint quelques temps, puis celle-ci laissa enfin place au plaisir, et il enlaça Jui d'autant plus fort contre lui, ne voulant plus le quitter, tel un gosse et son ninin.Les voix montèrent très haut, l'orgasme les fit sombrer dans ' la petite mort ' et c'est avec peine qu'ils réussirent à reprendre leur souffle.
kimi e no Birthday present areba tashika ni nen mae koukanamo no nado kaezu ni dakara, boku no karada de [1]
- Tero... je voulais te dire quelque chose... Murmura Jui après que Tero ait fini de lui chanter ces quelques paroles, souvenir d'une de leurs chansons.Le batteur laissait courir ses mains sur le torse du chanteur, l'écoutant attentivement.- Ai shiteru.... lui souffla-t-il à l'oreille, alors que le visage du batteur s'illuminait de mille feux. OWARIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII !! [color=red][1] : paroles de Waisetsu[color:5920=#000000:5920] ningyou, de Vidoll | |
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