ErIiZa - Aëlin

Titre : Eriiza
Auteur : Aëlin
Disclamer : Tous les persos cités ne sont pas à moi ^^
Genre : AU, c’est sûr. Après, je sais pas
Déclaration : Ce truc me tanne depuis que j’ai finit les cours à cause de la chanson Kimi~wo~nosete, magnifique chanson de Vidoll qui m’a fait plusieurs fois pleurée ( si vous voulez l’entendre, mailez moi). Enfin, j’espère que ce début vous plaira ^^ Have a good time !! ( je vais peut être la traduire en anglais )

#~# ErIiZa #~#

Un rayon de lumière vint frapper ses paupières encore closes, le faisant remuer quelque peu, ce qui réveilla son compagnon jusqu’alors endormi.
- Tero, arrête de bouger, murmura-t-il, ce qui n’eut aucun effet puisque ledit Tero s’était rendormi, passant un bras sur les épaules de son compagnon, l’empêchant de faire un quelconque geste.
Jui retira la couverture de son corps, encore un peu dans les vaps, et tenta tant bien que mal de se lever, entravé par le bras lourd du batteur.
- ‘So Tero tu me gène !
Sur ces mots, il souleva le bras et le balança, ce qui eut pour effet de ne pas réveiller son propriétaire. Il ne fit que se retourner, laissant échapper un petit gémissement et par la même occasion, faisant gagater Jui qui s’était levé et se préparait à lui donner un petit baiser.
Il enfila son yukata par dessus son caleçon, se dirigeant ensuite vers la cuisine pour préparer son petit déjeuner, allumant l’ordinateur au passage.
Il sortit la boite de lait du frigo et le bol de soupe froide qu’il avait préparé la veille pour eux deux, puis la fit réchauffer pendant qu’il préparait deux bols de céréales. Mettant le tout sur un plateau, il y rajouta la soupe de légume et se dirigea vers son ordinateur afin de vérifier ses mails.
Il y avait deux messages de Rame, qui lui disait qu’il avait mis des photos d’eux deux sur son blog, un de Kisaki qui leur rappelait la balance qu’ils avaient avant leur concert de mercredi dans une ville en périphérie de Tokyo et un de Kanoma, un de leurs meilleurs amis qui leur annonçait une assez mauvaise nouvelle. Fatima, leur groupe, s’était dissolu, et le chanteur se retrouvait sans travail pour le moment.
- Salut ma princesse !! Hurla soudain une voix derrière Jui, le faisant sursauter et recracher la cuillère de céréales qu’il avait toujours dans la bouche.
- Espèce de malade mental !! Tu veux me tuer c’est ça ?? Cria Jui sous la colère, repoussant vainement les bras de son amant qui se montrait très entreprenant pour un non matinal
- Roh, te mets pas en colère mon bébé ! C’était juste pour rigoler
- Je me passerais bien de tes blagues.
- Dis donc, t’es de mauvaise humeur ?
Jui fit la moue, puis finit par se dégager, non sans ordonner :
- Prépare toi, on sort voir Rame. Je l’appelle.
Tero prit son menton entre ses mains, dépité. Ca ne serait pas aujourd’hui qu’il arriverait à faire un câlin à son bébé. Le roux se leva du canapé où il s’était installé quelques secondes auparavant, attachant ses cheveux en une queue de cheval haute, et alla choisir les vêtements qu’il allait porter le jour même. Vu l’humeur de Jui, il ne fallait mieux pas qu’ils prennent leur douche ensemble.
Depuis trois mois, il était habitué aux sautes d’humeur de son amant. Ils s’était mis ensembles après une soirée bien arrosée qui avait finit dans le lit de Rame, au grand damne de celui-ci, l’alcool dénouant les langues, dans tous les sens du terme. Contrairement à son apparence de yakuza, Tero était en fait un garçon très timide qui osait à peine parler en compagnie de personnes qu’il ne connaissait pas, et ce n’est que grâce à la bonne humeur du leader qu’il avait réussi à s’ouvrir aux autres.
Il surveilla le bruit de la porte de la salle de bain, puis se faufila à l’intérieur, sans demander son reste, tout en soupirant lourdement. La douche fut vite expédié, et c’est sur le canapé qu’il retrouva son amant en train de regarder la télévision, un air sérieux collé sur le visage.
Jui se leva sans mot dire, attrapa sa veste et son portable, franchit le pas de la porte et tout ça sans attendre Tero qui le regardait faire avec des yeux ébahis.
- Il me snobe là ??!! Se dit-il pour lui même.
Attrapant les clés de sa voiture – Jui détestant cordialement conduire et n’ayant pas son permis – il suivit le blond jusqu’au bas de l’immeuble où il l’attendait fermement. La voiture émis un petit bip quand il appuya sur le bouton d’ouverture automatique des portières, puis ils s’engouffrèrent tous les deux dans l’auto dans le silence le plus total.
Le trajet jusqu’à chez le bassiste ne dura pas une éternité, et en moins d’une quinzaine de minutes plus tard, ils se retrouvèrent devant la porte de l’appartement.
- Oui les garçons, j’arrive, fit Rame de sa voix de canard endormi, débloquant les chaînes qui entravaient sa porte. Euh, les mecs, vous voulez un coup de main peut être ??
Jui se retourna précipitamment, un air résigné sur le visage, signifiant clairement que le leader l’avait dérangé en plein travail… buccal. Finalement, ils semblaient s’être réconciliés dans l’ascenseur.
- Nan, on se passera de tes talents, dit Tero, étant apparemment d’aussi mauvaise humeur que le chanteur quelques temps auparavant.
- Bon, bah entrez les jeunôts, s’exclama le leader, en s’effaçant pour les faire pénétrer dans son salon typiquement européen.
Ce dernier se composait d’un canapé imitation cuir, encadré de deux fauteuils de même type, devant une grande télévision écran plat dernier cri ( et oui, ça payait le métier de musicien, surtout à UnderCode), une table basse aux motifs gothiques, le tout agrémenté de quelques tables où reposaient des lampes de salon, éclairant celui-ci d’une lumière douce. Les deux invités se permirent de s’asseoir, leurs deux mains enlacées amoureusement, attendant que Rame revienne avec des victuailles.
- Tu n’as pas résisté longtemps, mon cher ami, murmura Tero après un long baiser, serrant son amant très fort contre lui.
- Jamais plus d’une demi heure, mon amour, souffla le chanteur dans le cou du batteur, fermant les yeux pour terminer sa nuit qui avait déjà été longue.
- Tu as le front tout chaud mon bébé, tu es sûr que ça va ? Demande le roux après avoir posé la tête de son amant sur son épaule, glissant sa main dans la chevelure dorée du blond.
- C’est toi qui me fait cet effet là.
- Eh oh bande de pédés !! C’est pas parce que je suis ouvert d’esprit que vous devez vous sentir obligés de faire des cochoncetés dans mon salon ! Déjà que vous avez pété une latte de mon lit que j’avais fait importé de France ! Je me demande pourquoi je vous accueille chez moi !!
- Rame … C’est toi qui nous as invité mon vieux. Fallait s’attendre à ce qu’on ne soit pas tranquilles.
- J’ai passé une très mauvaise matinée, j’ai le droit de profiter de ma carotte un petit peu !
Ils avaient quasiment parlé en même temps et cela les fit éclater rire. Le bassiste se décida à laisser passer l’affaire – de toutes façons, il sentait qu’il allait en passer beaucoup – et posa ce qu’il était partit chercher dans sa cuisine ( c’est à dire bière et mises en bouches diverses et variées) sur la table basse, et Tero s’empressa de se jeter dessus, sous l’œil attentif de Jui qui veillait à ce qu’il ne mange pas trop.
- Alors je vais faire les magasins à Shibuya avec Jui et toi, tu vas à ta conférence, Tero-chan ?
- Oui, répondit le batteur, la bouche remplie de cacahuètes. Tu le ramènes à la maison en fin de soirée et je le retrouve là bas.
- Tu sais, Te…
- Chut mon poussin, je préfère savoir Rame avec toi, je ne veux pas qu’un inconnu te drague en pleine rue.
Il ponctua sa phrase en avalant une gorgée d’alcool, tandis que Jui se resserrait contre lui, les yeux dans le vague, insinuant sa main dans la poche arrière du pantalon du roux.
- Et tu pars à quelle heure ? demanda le brun, qui n’avait rien remarqué de l’affaire.
- Bah en fait, ça serait bien que je parte maintenant, je crois que ça a déjà commencé.
- Bakaaa ! Tu sais bien que je déteste que l’on soit en retard !! Dépêche-toi d’y aller où je sors le fouet !
Tero se leva précipitamment, ne voulant pas subir les foudres du bassiste, embrassa langoureusement son amant, prit ses clés et se barra vite-fait de l’appartement.
- Bon bah comme ça on va pouvoir discuter bien tranquillement, fit-il avec un grand sourire

Titre : ErIiZa
Auteur : Aëlin
Disclamer : Pas n'a moi
Genre: UA ??? Peut être
Déclaration : Encore Vidoll, toujours Vidoll, Vidoll à vie !! Et oui, je reviens après quelques mois d'absence avec le deuxième chapitre de ErIiZa, avec pour fond musical le dernier album de Vidoll : V.I.D. ~ Very Important Doll. Enjoy !! (comme diraient Die et Toshiya !) et bonne lecture !!

#~# ErIiZa #~#

- Jui, tu veux venir avec moi à H.Naoto ?? Ou je te laisse sur le trottoir ?
- C’est bon Rame, je suis pas fatigué au point de ne plus te suivre. Je savais très bien ce qui m’attendait quand j’ai accepté de venir faire les magasins avec toi, répondit le blond en soupirant.
- Je te promets que je n’en ai pas pour longtemps.
Oui oui, deux heures, je sais Rame…
Ils rentrèrent dans un immense immeuble d’au moins trente étages, sûrement tenu par un grand couturier japonais à en juger par l’inscription sur la porte électrique. L’intérieur était tout aussi gigantesque, et on pouvait voir des centaines et des centaines de rangées de vêtements, et des clients typés et apparemment riches farfouillant le tout. Rame se rendit directement dans le rayon ‘homme’ qui présentait des fringues pourtant parfois très féminins, et plongea dans les vêtements qui trônaient sur la barre, observé par Jui qui commençait déjà à se sentir mal. Il avait un peu de mal à supporter les zones très peuplées, ce qu’on pouvait appeler de l’agoraphobie – bien sûr, cela n’existait pas, c’était juste une peur qu’il se créait lui même – ce qui le rendait très sensible lorsqu’il sortait à Tokyo tout seul.
A l’inverse, Tero détestait le laisser seul car pendant ses moments de solitude, le chanteur était capable de n’importe quelle folie pour trouver quelqu’un à qui parler ( c’était d’ailleurs pour cela qu’ils avaient acheté un ordinateur et payé un abonnement internet). C’était apparemment un profond traumatisme qui venait de son enfance…Dont Tero n’avait aucune idée d’ailleurs.
- T’en as pour longtemps tu crois ? Finit par dire le blond perdant peu à peu patience.
Le bassiste, plongé dans son essai pour trouver un nouveau pantalon aux couleurs kaki à sa taille, ne releva pas la phrase.
- Rame, je t’en pris, retenta Jui, les larmes aux yeux, cachées par ses grandes lunettes Gucchi. Il faut qu’on parte.
Le brun se retourna, et avisant l’état de son compagnon, décida qu’ils avaient assez vagabondé de la journée.
- D’accord, je reviendrais tout seul demain. Tu veux que je te ramène chez toi ?? Il est quatre heure et Tero ne devrait pas tarder à rentrer. Ou tu peux l’appeler pour lui dire que tu restes chez moi.
Le chanteur frotta ses doigts contre ses yeux quelque peu rougis.
- Je préfère rentrer chez moi, je ne veux pas te déranger et il me manque…
Le bassiste soupira, prenant le blond par la main, puis se dirigea vers la sortie tout en jetant un coup d’œil sur la longuuuuuuuuuue file d’attente jusqu’à la caisse d’un air déçu…
Jui, quant à lui, traçait le plus possible pour retrouver l’air peut être pollué mais plus sain que celui de l’intérieur du magasin où il commençait à étouffer.
- Tu attends deux minutes que j’appelle le taxi ?? Demanda Rame après être sorti et avoir assis le chanteur sur des marches avoisinantes, quelques temps plus tard.
Jui prit sa tête entre ses mains, essayant d'endiguer la grosse migraine qui commençait à arriver doucement mais sûrement. Rame vint le rejoindre, comme promis, deux minutes plus tard, pour le relever alors que le chauffeur du taxi attendait sagement sur le bord de la route.
Le trajet jusqu'à l'appartement du chanteur se fit sans encombre, mais Rame dû porter Jui jusqu'à son logement, celui-ci se plaignant d'un mal à la tête carabiné.
- Tu peux me laisser là tu sais, je vais pouvoir rentrer tout seul.
- Euh, Jui, je voudrais pas t'offenser mais bon t'as déjà faillit te casser la gueule trois fois dans l'escalier alors je vais pas te laisser sur le pas de ta porte. File-moi tes clés !!
Jui farfouilla dans la poche droite de son jean sortant un trousseau auquel pendant un petit personnage à l'effigie de hide, le fameux défunt guitariste de X Japan, et le tendit au bassiste qui dévérouilla la porte.
- Vas te coucher, je vais t'apporter de l'aspirine, dit-il en laissant le chanteur traverser tout seul l'appartement.
Jui ne se le fit pas dire deux fois, et il traça jusqu'à sa chambre, enlevant son pantalon, sa veste et son pull et s'allongeant dans son lit comme ça.
Quant à Rame, il ne farfouilla que dans un seul tiroir. Après tout, c'était lui qui avait rangé les médicaments quand les deux musiciens avaient emménagés ensemble. Attrapant un verre dans l'étagère au dessus de l'évier, il le remplit d'eau, rajouta le médicament. Il attendit deux ou trois minutes, pendant lesquelles il en profita pour envoyer un message à Tero qui devait sûrement être reparti de sa convention.
Il posa son portable sur la table basse du salon, se munit de son verre et se dirigea vers la chambre, anxieux de ce qu'il allait trouver.
En fin de compte, il vit qu'aucun caleçon trainait par terre, juste quelques feuilles roulées en boule du côté où Jui était, et des magazines à l'opposé.
Le bassiste s'approcha du blond, allumant la lumière de la table de chevet.
- Jui, prends ça, ça va te faire du bien.
L'autre gémit, puis se tourna vers le brun tout en se relevant afin de boire.
- C'est déguelasse ton truc, murmura-t-il.
- Eh bien c'est comme ça et pas autrement. Allez, repose-toi, je reste jusqu'à ce que Tero arrive.
Il lui caressa le front, qu'il trouva brûlant, et sortit de la chambre après avoir éteint la lumière, jetant un dernier coup d'oeil à la silhouette emmitouflée dans les couvertures.

Titre : Eriiza
Auteur ; Aëlin
Disclamer : oui, on est obligé !! Les Vidoll ne m'appartiennent pas !

CHAPITRE III

Rame s'empara de son téléphone portable, re-sommant par sms le batteur de revenir sur le champs pour s'occuper d'un chanteur depressif et malade, dont le bassiste ne connaissait pas toutes les facettes.

Il ne lui restait plus qu’à attendre le retour de Tero au bercail, aussi se mit-il devant la télé, ne voulant pas laisser l’autre tout seul mais sans être près de l'alité.

Pour une fois que je peux veiller sur eux sans problèmes et que l’autre ne soit pas jaloux, pensa le bassite, un sourire victorieux dessiné sur les lèvres.

Il fila dans la cuisine, se servant un café serré – il sentait que la soirée allait durer, surtout si le chanteur était malade. S'il avait le malheur de s'endormir, il pouvait être sûr qu'il allait être réveillé par Jui qui ferait des cauchemards dont, jusqu'à maintenant, il n'en connassait pas la cause.

Espérons que le somnifère ait fait effet tout de même, se dit-t-il tout en s'étirant sur le canapé des deux colocataires.

Il s'empara de la télécommande de la télévision, l'allumant sur une des différents chaines que comptait la télé japonaise, tombant au hazard sur un anime qu'il n'avait pas vu depuis longtemps, quand la porte de l'entrée s'ouvrit violemment, faisant trembler le meuble à chaussure.

– Qu'est ce qu'il a ? Qu'est ce qu'il se passe ? Où est-il ?

La furie rousse s'arrêta tout de même pour enlever sa veste et ses baskets à une vitesse affolante, sous les yeux effarés du brun qui laissait son café dégouliner sur son pull, et c'est comme hyptnotisé par la vitesse de son batteur qu'il répondit :

- Malade, en train de dormir, dans la chambre.

Il n'eut le temps de le voir partir, mais entendit juste :

- Y d'autres affaires pliées sur le sèche linge dans la salle de bain ! Sers-toi.

Puis, plus rien.

Tero ouvrit la porte de la chambre de façon à ce qu'elle ne fasse aucun de bruit, puis s'approcha de la fenêtre principale, relevant un peu le volet pour ne pas éblouir son amant avec la lampe de chevet. Aussitôt fait, il s'agenouilla du côté du chanteur, virant les quelques pages noircies de mots qui gênaient son passage.

- Mamour ? Murmura-t-il. Tu dors ?

Le blond releva la tête vers lui, sortant la tête des couvertures, découvrant ainsi ses yeux humides au reste du monde.

– Pourquoi tu m'as laissé tout seul ? Chuchota-til.

– Tu étais avec Rame, je pensais que tout allait bien se dérouler, dit il sur le même ton.

– J'arrive à ne pas faire de crise que quand tu es avec moi... Je me suis habitué à toi, tu comprends ?

Le batteur soupira.

– Pourquoi ne me l'as tu pas dit plus tôt ? Ca aurait évité de déranger Rame, tu serais venu avec moi.

– Je voulais me tester...

Le batteur se releva alors, commençant à se déshabiller à l'abri du regard de Jui, puis referma le volet après avoir plié ses vêtements sur une chaise à côté de la table de chevet.

– Tero ... ?

Il y eut un bruit etouffé, le batteur ayant trébuché sur ses magazines.

– J'arrive.

Il s'allonga dans le lit à côté de son amant, qui se retourna pour s'installer entre ses bras, et Tero lui déposa un baiser sur le haut du crâne...

... Le roux se réveilla en premier le lendemain, se dégageant de l'étreinte du blond, mais sans succès.

– T'as encore la migraine ?

Le chanteur eut un moment d'absence, dû au réveil.

– Non, c'est bon.

Ils s'embrassèrent, puis Tero se leva pour aller se sustenter dans la cuisine.

Alors qu'il allait ouvrir le frigidaire, il remarqua un morceau de papier rose fluo, qu'il se mit à lire attentivement.

« Chers amis, j'espère que vous allez mieux.
Tero, je t'ai piqué un tshirt, tu as encore grossi !! On va être obligés de changer les mesures pour les prochains costumes !
Jui, j'ai passé un super après midi avec toi, quoiqu'un peu court. J'espère le refaire une prochaine fois !
Allez, bisous tous les deux, et faites pas trop d'imbécilités, n'oubliez pas la répêt' de lundi ! »

Le batteur éclata de rire.

Owari

J'espère que ce tissu de mes idées folles vous a plu, pour ma part, j'ai terminé une fic qui me tenait à coeur, même si quand je la relis maintenant, je me demande comment j'ai pu écrire cette horeur, moi qui m'emballe dans mes descriptions !
Merci de m'avoir lue !